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Nouvelles – 13 juillet 2018

Chers frères et sœurs,

Nous sommes rentrés cette semaine d’une visite chez mes parents à l’occasion de la Fête de l’Indépendance américaine le 4 juillet. Cela nous a permis d’honorer mes parents et de revoir mes sœurs et leurs familles qui habitent tous la région de Saint Louis dans le Missouri.

Monsieur Franks m’a mentionné récemment que mon père a les plus longs états de service dans le ministère ordonné de l’EDDAM, servant depuis plus de 63 années. Nous profitons toujours de son expérience et de sa sagesse, acquis pendant son service varié dans le ministère. J’ai également eu l’occasion de prononcer le sermon lors de la sainte convocation à Saint Louis, qui fut notre congrégation habituelle pendant plus de dix ans. Nous y avons donc beaucoup de vieux amis.

Beaucoup de pays au monde célèbrent leur indépendance, leur libération, d’un pays colonisateur. Pendant notre visite récente en Inde nous avons visité l’ancien palais du Vice-roi britannique à Delhi, devenu maintenant le palais du président indien. Notre guide a expliqué la fierté des indiens d’avoir gagné leur liberté. Mohandas Gandhi, l’instrument principal de cette indépendance est encore révéré comme père de la nation moderne.

La Bible explique que Satan occupe le monde, non pas comme colonisateur mais comme occupant qui a réduit les êtres humains en esclavage spirituel. Ils ne le savent pas pour la plupart, mais cela ne change pas cette triste réalité. Paul a parlé des gens aveuglés par Satan, espérant « que Dieu leur donnera la repentance pour arriver à la connaissance de la vérité, et que, revenus à leur bon sens, ils se dégageront des pièges du diable, qui s’est emparé d’eux pour les soumettre à sa volonté » (2 Timothée 2:25-26). La version Ostervald le traduit « qu’ils sortent de l’ivresse des pièges du diable, qui les tient captifs et soumis à sa volonté. »

Ce monde a besoin d’une libération, d’une indépendance de Satan, qui s’obtient uniquement en acceptant le joug léger et doux de Jésus-Christ (Matthieu 11:30). Satan emprisonne ; Jésus-Christ libère.

Nous ne devons jamais prendre notre libération spirituelle pour acquise ; son prix fut lourd. Nous avons « été rachetés à un grand prix » nous dit Paul, ce prix fut la mort de Jésus-Christ. « Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu » (1 Corinthiens 6:20).

N’oublions pas la webdiffusion demain à 14h00, heure de Paris.

Je vous souhaite, frères et sœurs, un très bon sabbat dans la paix et dans la joie.

Votre serviteur en Christ,

Joël Meeker

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